Quand on prend de la hauteur, on est tout de suite frappé par les alignements de maisons qui se dessinent, formant des rues dont le tracé nous est plus ou moins familier.
Ici on aperçoit la belle percée de l’Avenue de la Victoire, toute rectiligne, qui relie la Porte de Paris à l’Hôtel de ville.
Elément du plan d’urbanisme qui régit le centre–ville au lendemain de la Première Guerre Mondiale, sa droiture contraste avec les courbes de la rue de Noyon. Cependant, si les maisons sont bien alignées, il n’en est pas de même des toitures dont les hauteurs varient considérablement.