
Elles s’intègrent à la façade tantôt dans un mascaron (encadré d’un cartouche), tantôt dans un médaillon (bas-relief décoratif circulaire ou ovale), ou jaillissent sous la forme d’une cariatide ou d’un Hermès (figure à mi-corps engainée servant de support).
Le monde de la mythologie, la religion, le sport ont nourri l’inspiration des artistes qui les ont placés sur ces façades. Ce sont des chérubins (tête ou buste d’enfant porté par 2 ailes), des angelots dont certains jouent de la musique, ou des représentations de personnages religieux comme le chevalier saint Georges à cheval terrassant le dragon,la vierge et l’enfant Jésus, ou même des emblèmes profanes comme un joueur de tennis.
C’est un regard bienveillant, méditatif, interrogateur que ces figures humaines posent sur le piéton cambrésien. Il suffit de lever le nez pour croiser ces regards.